Poésie,
What is that ?
Je ne sais pas comment,
Donc, je dirais, l'arbuste que je vois,
Avec quatre ou cinq branches tenant debout,
Les feuilles aux couleurs de l'été, du printemps et de l'automne.
Pourquoi je le regarde ?
En écoutant cette chanson,
Je me suis tourné à droite et je l'ai fixé,
Le vent le balançant vers l'orient et là-bas,
Me rappelant l'innocence de ma chère enfance,
à l'époque où je contemplais déjà notre tante nature.
Oh Grande Mère,
Toi la Mère de mères,
Vois tu ton fils et dévot ?
Vous à qui le monde ose désobéir,
En manquant de respect à vos enfants :
La faune, la flore et dévots, eaux et terres...
En tant que fils et dévot,
Je regarde mes frères et soeurs plantes,
Oh Mère, vous savez qu'en réalité j'aime le soleil,
Mais que ce sont sa dictature et l'absence de la pluie que je déteste;
Oh Mère, toi la Mère des mères, la Grande mariée, quand feras-tu marier ton fils ?
Lui qui refuse d'être considéré comme un grand, un prince ou autre ? Afin qu'un jour il puisse dire...
Now, is forever.